Aqsa Ijaz
Aqsa Ijaz est étudiante au doctorat à l’Institut des études islamiques de l’Université McGill et travaille sur les traditions littéraires persanes et ourdoues du sous-continent indien. Traductrice et examinatrice, elle continue à écrire pour les publications de premier plan au Pakistan tels que Laaltain, Dawn et The Express Tribune.
Ayesha Vemuri
Ayesha Vemuri est étudiante au doctorat en communication à l’Université McGill. Ses recherches portent sur l’intersection du genre, de l’environnement et du militantisme en Inde. Ses travaux dans le passé avaient lien spécifiquement avec l’activisme féministe contre les violences sexuelles en Inde et sur l’utilisation féministe des plateformes en ligne pour atteindre un public global afin de renforcer la solidarité transnationale. Elle travaille également sur un projet de lutte contre la violence sexuelle sur les campus universitaires et avec la Fondation canadienne des femmes pour promouvoir des relations saines entre les adolescents.
Daniela Pinto
Daniela Pinto est une réalisatrice basée à Toronto, en Ontario. Son court-métrage documentaire «Us = Them» a été finaliste au concours TVO Short Doc Contest en 2017 et a récemment été diffusé dans la série Absolutely Toronto de la CBC. Elle travaille en tant que monteuse sonore, mixeuse et compositrice indépendante, mais se sent souvent obligée de raconter des histoires sur des questions qui la concernent, telles que l’identité LGBTQ et son intersection avec le genre et la culture. Elle est diplômée récente du programme Bachelor of Film and Television du Sheridan College, où elle a écrit et réalisé «Priya» (à côté de son ami Kyle Smith) dans le cadre de son projet de thèse de dernière année. Ce film ayant une signification personnelle profonde pour elle, elle a hâte de pouvoir enfin le partager avec un public plus large.
Dolores Chew
Dolores chew est enseignante à Marianopolis College, et donne un cours de science humaine ‘Beyond Bollywood’. Elle est membre du Centre des femmes sud-asiatique, chercheuse associée à l’Institut Simone de Beauvoir et membre de CERAS (Centre sur l’asie du sud)
Jill Didur
Jill est professeure d’Anglais à l’Université Concordia. Ses intérêts de recherches incluent la littérature et la culture de l’Asie du Sud, études postcoloniales et les humanités environnementales. Elle est l’auteur de Unsettling Partition : Literature, Gender, Memory (2006) et co-redactrice de Global Ecologies and the Environmental Humanities : Postcolonial Approaches (2015)
Karishma Dev Dube
Karishma est une cinéaste indien basée à New York. Elle a connu le cinéma quand elle travaillait à Mumbai comme assistante à la production pour plusieurs films documentaires et long-métrages indépendants, y inclus Catching Sun, un film documentaire de « TED Fellow » Shalini Kantayya. Bénéficiaire de la bourse du doyen, Karishma est actuellement une candidate pour la thèse de MFA dans le programme de maitrise en cinéma avec le NYU. Sa dernière réalisation est Devi (déesse), un court-métrage primé diffusé par BBC World et visionné dans plus de 40 festivals à travers le monde y compris BFI London Film Festival, LA Film festival, OUTfest LA et Edinburgh International Film Festival. Elle est en train de dévélopper Devi vers son premier long-métrage. Karishma a l’intenion de continuer à créer des films qui questionnent les assomptions culturelles, à la fois concernant son pays et à l’intérieur de son pays.
Kavitha Culasingam
Kavitha est anti-raciste et féministe. Elle travaille au Centre des Femmes d’ici et d’ailleurs comme organisatrice de la collectivité. Elle est aussi active dans un groupe qui s’appelle GARAM MASALA (Groupe d’Action Révolutionnaire sud-Asiatique de Montréal / Montreal Association of South Asian Leftists & Allies).
Khatira Mahdavi
Khatira est une poétesse, auteur et conférencière afghane, qui est poursuit des études d’Islam et du Moyen-Orient à l’Université McGill.
Kiran Omar
Kiran réside à Montréal depuis 30 ans. Elle apprécie le cinéma et est intriguée par l’art de production des films. Elle était affilié au centre Kabir de Montréal pendant quelques années où elle appuyait le jeune club du film et leur festival. Elle croit fermement que le cinéma est un excellent moyen pour mettre en lumière les enjeux sociaux et raconter des histoires. Elle a une formation dans l’éducation des adultes, relations internationales et sciences sociales. Les questions des femmes est un autre sujet favori, donc elle active dans le chapitre Montréal de ZONTA, une organisation internationale avec des chapitres en Amérique du nord et statut consultatif aux Nations-Unis. Zonta organise des activités pour faire connaître des questions de la santé et l’éducation des femmes. Elle est également passionnée par le théâtre et les arts de scène. Elle continue de maintenir des liens étroits avec Teesri Duniya Theatre qui se concentre sur les problèmes des immigrants et des communautés marginalisés à Montréal et au Canada.
Lara Braitstein
Lara est professeure associée en bouddhisme indo-tibétain. Ses recherches incluent la littérature et historiographie de bouddhisme de l’inde, de Tibet et d’Himalaya. Elle est auteur de The Adamantine Songs (Columbia UP, 2014), traductrice et rédactrice de Path to Awakening de Shamar Rinpoche (Motilal Bansarsidass, 2009, 2011; Delphinium Books 2014) et rédactrice de Boundless Wisdom (Delphinium 2018). Elle enseigne le bouddhisme tibétain, de la poésie bouddhiste et des traditions tantriques de bouddhisme tibétain et indien.
Maud Pontel
Maud a immigré au Québec en 2001 pour poursuive ses études universitaires en travail social à UQAM. Son parcours académique et professionnel l’a aidé dans son travail avec un réseau de refuges pour les femmes victimes de violence domestique et s’intéresser dans ce problème du point de vue de relations interculturelles. Elle a collaboré dans la rédaction de plusieurs livres et articles; elle a aussi formé des centaines d’ouvriers sur ce sujet. Depuis 2008, elle est coordinatrice du Département multilingue de sensibilisation publique chez Le Bouclier d’Athena, un osbl montréalais pour les victimes de la violence familiale.
Mayur Sanmugam
Mayur est Directeur de gestion des produits à TATA Communications. C’est un photographe assidu et mordu du cinéma. Il est tamoul Sri Lankais, dont la vie a été influencée par l’immigration réticente vers l’Inde et par la lutte pour trouver son identité loin de chez lui. Il est très attiré par le voyage lent de Sri Lanka vers la normalité après la guerre.
Megha Sharma Sehdev
Megha est anthropologue spécialisée dans le genre, la violence et le droit. Travaillant de manière intensive à New Delhi, en Inde, Megha a exploré comment l’intimité se manifeste dans les familles et comment elle apparaît après l’entrée en vigueur de la loi. Elle écrit occasionnellement sur l’art et est photographe. Elle a reçu son doctorat de l’Université Johns Hopkins en 2018 et est actuellement stagiaire postdoctoral au département d’anthropologie de l’Université McGill.
Rachel Berger
Rachel Berger est professeure agrégée d’histoire et membre de l’Institut Simone de Beauvoir de l’Université Concordia. Ses recherches portent sur l’histoire du corps en Inde dans divers domaines, dont la santé, l’alimentation, le genre / sexualité et les pratiques de résistance.
Raymonde Provencher
Dans les années 70s, Raymonde a travaillé sur de nombreux programmes à Radio-Canada et Télé-Québec. En 1983, elle faisait partie de l’équipe qui a conçu et a développé le programme de télévision Nord-Sud de Télé-Québec, qui est rapidement devenu l’émission de nouvelles internationales de référence de la province. En 1995, Raymonde et ses deux collègues ont décidé de créer Macumba, leur propre compagnie de production privée, où elle est réalisatrice et productrice des films documentaires dédiés aux problèmes sociaux et politiques de partout au monde.
Rekha Iyer
Rekha est présentement professeur de chimie organique à John Abbott. Elle est titulaire de maîtrise en littérature et en sciences. Elle était auparavant présidente de Bharatiya Sangeetha Sangam, à Montréal. Dans sa jeunesse à Bangalore en Inde, elle a été associée au Repertory Theatre et a organisé des pièces de théâtre d’auteurs célèbres. Elle a été active dans la présentation des films de Satyajit Ray à Montréal au cours de ses études à Concordia.
Rock Demers
Fondateur (en 1980) et président de « Les Productions La Fête » et créateur des CONTES POUR TOUS, Rock Demers a touché à toutes les facettes du cinéma (critique, distribution, exportation, exploitation, production). Au début des années 50, il a cofondé la revue Images et mis sur pied plusieurs ciné-clubs. En 1958, après avoir étudié l’enseignement, il a quitté le pays pour voyager à travers l’Europe et l’Asie pendant deux ans. De retour au Canada, il s’est joint à l’équipe qui venait de fonder le Festival International du Film de Montréal. Il est devenu le directeur général du Festival de 1962 à 1967. Il a été l’un des cofondateurs de la Cinémathèque québécoise en 1963 et a fondé Faroun Films en 1965. En 1968, il s’est consacré à Faroun Films, dont la distribution de films pour la jeunesse s’est rapidement étendue à des dizaines de pays. Avec l’exportation du Martien de Noël, et d’autres films, tels Les Mâles (Gilles Carle), La Vie rêvée (Mireille Dansereau) et Les Smattes (Jean-Claude Labrecque), Faroun Films est devenu le plus important ambassadeur de l’industrie naissante du cinéma québécois à l’étranger. Grâce à l’éclatant succès des premiers CONTES POUR TOUS, dont le public et les critiques ont salué l’exceptionnelle qualité (quelque 215 récompenses nationales et internationales en moins de 30 ans), la collection comprend maintenant 24 titres et a valu personnellement à Rock Demers de nombreux prix, tant sur la scène nationale qu’internationale, dont le Prix Albert Tessier (Québec), Compagnon de l’Ordre du Canada, Chevalier des Arts et des Lettres (France).
Sabeena Shaikh
Sabeena est étudiante doctorale à l’Institut des études islamiques de l’Université McGill et travaille sous la direction du professeur Pasha Khan. Elle donne des cours de Hindi-Ourdou à McGill et est passionnée par la poésie en ourdou et par l’histoire de l’Asie du Sud. Son projet actuel de recherches explore les voix et les subjectivités des courtisans du début de la période moderne de l’Asie du Sud. Sabeena travaille en ce moment sur la rédaction et la traduction d’un document écrit au plateau de Deccan en 19e siècle.
Sandeep Banerjee
Sandeep est professeur adjoint d’Anglais à l’Université McGill et auteur de Space, Utopia and Indian Decolonization: Literary Pre-figurations of the Postcolony (Routledge, 2019). Ses domaines de spécialisation incluent la littérature anglophone de l’Asie du Sud et la littérature Bengalaise des périodes coloniales et post-coloniales.
Sarah K. Khan
Sarah K. Khan, artiste et chercheuse, a reçu deux fois la bourse Fulbright. Elle crée un contenu multimédia ancré dans la justice sociale sur la nourriture, la culture, les femmes et les migrants,. Elle est en post-production sur un documentaire animé sur [des paysannes indiennes] avec Amrita Simla, une narratrice shero brune. La série croise la mondialisation, la dégradation de l’environnement, la discrimination fondée sur le sexe et la race / castes, en plus de la perte de diversité bio culturelle et culinaire. Le premier film de la série s’intitule [Bowing To No One]. Elle crée également un contenu médiatique mondial sur [Migrant Kitchens] et relaie les [histoires de migrants], à travers l’optique de l’alimentation, avec des photographies, des films et des cartes basées sur des données.
Sarah Nafisa Shahid
Sarah est une rédactrice indépendante de Dhaka, présentement basée à Montréal. Elle écrit sur l’intersection de la culture visuelle populaire et de la politique en Asie du Sud. Son travail a été publié dans Hyperallergic, le magazine Wear Your Voice et le Daily Star, le principal journal de langue anglaise du Bangladesh.
Sarwat Viqar
Sarwat est professeure au CEGEP John Abbot qui a fait de recherches dans la forme urbaine à Karachi. Elle explore la politique urbaine et des pratiques spatiales quotidiennes dans des villes de l’Asie du Sud avec une concentration particulière sur Karachi. Elle a un doctorat en études urbaines-anthropologie. Elle enseigne dans le département des humanités, philosophie et religion au Cegep John Abbot à Montréal.
Shazia Javed
Shazia Javed est une cinéaste indo-canadienne primée qui vit à Mississauga. Elle a participé dans la réalisation des films avec l’Office national du film et son travail a été projeté dans des festivals de films prestigieux tels que Hot Docs, DOXA, Global Visions et Durban International. Le travail de Shazia est centré sur les perspectives sous-représentées de ses propres communautés. Namrata, pouvez-vous m’entendre?, Et WeSayKnow. Shazia est titulaire d’une maîtrise en communication de masse de Jamia Millia Islamia à Delhi; et un M.F.A en film de l’Université York, à Toronto.
Sheetal Lodhia
Sheetal Lodhia s’efforce de favoriser les relations entre les établissements d’enseignement supérieur et le monde en général, en défendant l’interdisciplinarité, la collaboration et l’accès à la connaissance. Elle a toujours œuvré dans le secteur des médias, de l’éducation, de l’innovation sociale et à but non lucratif et a collaboré avec des organisations populaires, des groupes d’éducation artistique et des organisations politiques dans les domaines de la planification stratégique, de l’engagement communautaire et de l’obtention de subventions. Titulaire d’un doctorat en littérature anglaise de l’Université Queen’s, elle a mené des recherches et enseigné dans les domaines des études culturelles, du colonialisme et de la théorie raciale critique, de la littérature de la Renaissance et de l’histoire de la médecine. Elle a produit des documentaires radiophoniques et un court métrage documentaire. Sheetal vient de terminer son mandat de directrice générale de l’Institut pour la vie publique de l’art et des idées (IPLAI) à l’Université McGill. Elle a également fondé Black Leg Productions, une société de production créative et de réflexion en une partie. Bien sûr, elle écrit, édite, lit, regarde la télévision, des jeux et l’artisanat ; elle enseigne et nourrit ses fantasmes de devenir une joueuse de tennis professionnelle.
Syeda Nayab Bukhari
Syeda a obtenu son doctorat au Département d’études sur le genre, la sexualité et les femmes de l’Université Simon Fraser. Elle a fait sa maîtrise en journalisme, MPhil en communication de masse au Pakistan. Intéressée par l’analyse de la race, de la classe sociale, du sexe par rapport aux médias traditionnels et ethniques, elle analyse les expériences vécues par les communautés ethniques minoritaires au Canada. Ses domaines d’intérêt incluent les relations entre races, classes et sexes; études d’immigration; médias ethniques; et le genre et le développement international.
Thomas Waugh
Thomas Waugh est professeur émérite à la Mel Hoppenheim School of Cinema de l’Université Concordia, où il a enseigné pendant 40 ans. Son livre actuel est I Confess: une anthologie d’essais originaux sur la construction du soi dans la troisième révolution sexuelle (à paraître, McGill Queen’s University Press, co-édité avec Brandon Arroyo). Il enseignera, avec les autres, un séminaire intensif «Les images en tant que modes de connaissance, de pratique sociale et d’affect» à l’Institut national de technologie, Silchar, Assam, en décembre.
Uzma Jamil
Le Dr Uzma Jamil est chercheur invité à l’Université McGill. Elle enseigne et dirige également le programme en études musulmanes au Chicago Theological Seminary. Ses recherches et son enseignement sont axés sur les études critiques musulmanes, l’islamophobie, la racialisation et la blancheur, ainsi que sur la sécurisation des musulmans dans le contexte de la «guerre contre le terrorisme». Elle a une formation interdisciplinaire en sociologie, en politique et en études postcoloniales. Elle est membre du comité de rédaction de ReOrient: Le journal des études critiques sur les musulmans.
Vaishali Sinha
Vaishali Sinha a réalisé/produit, en collaboration avec les autres, le long métrage documentaire MADE IN INDIA sur les histoires personnelles derrière le phénomène de la sous-traitance des mères de substitution en Inde. Le film a été présenté pour la première fois au Hot Docs Film Festival et diffusé sur PBS en 2012. Le film a reçu plusieurs prix du jury dans des festivals et constitue actuellement une étude de cas à la Harvard Business School pour son cours sur l’éthique. ASK THE SEXPERT est le deuxième long métrage documentaire de Vaishali; une présentation de sa compagnie Coast to Coast Films. Originaire de Mumbai, Vaishali réside maintenant à Brooklyn, New York
Yasmin Jiwani
Yasmin Jiwani est universitaire et militante féministe. Elle est professeure titulaire au département de communication de l’Université Concordia et titulaire d’une chaire de recherche de l’Université Concordia sur l’intersectionnalité, la violence et la résistance. Dans sa recherche, elle examine l’intersectionnalité de la race et du genre dans les récits de violence à l’égard des femmes et des représentations des peuples racialisées.
Zahra Sabri
Zahra Sabri est doctorante en histoire moghole et littératures indo-musulmanes à l’Institut d’études islamiques de l’Université McGill. Elle a enseigné l’histoire et la littérature en ourdou à l’Université Aga Khan et au Centre d’études de l’Université de Karachi au Pakistan. Traductrice littéraire, elle a traduit la poésie folklorique et classique pendant neuf saisons du programme musical Coke Studio. Elle a également travaillé comme journaliste pour le magazine Herald, DAWN.
Zinnia Naqvi
Zinnia Naqvi est une artiste visuelle basée à Tkaronto / Toronto et à Tiohtià: ke / Montréal. Son travail utilise une combinaison de photographies, de vidéos, d’écrits, de séquences d’archives et d’installations. La pratique de Naqvi remet en question la relation entre l’authenticité et le récit, tout en abordant des thèmes plus vastes tels que le post-colonialisme, la traduction culturelle, la langue et le genre. Ses œuvres invitent souvent le spectateur à s’interroger sur son processus et ses méthodes de travail. Les œuvres de Naqvi ont été présentées au Canada et à l’étranger. Elle a récemment reçu une mention honorable à la Biennale Karachi 2017 au Pakistan et a été artiste en résidence au Musée des beaux-arts de l’Ontario au sein du groupe de travail EMILIA-AMALIA.